La voiture électrique est souvent perçue comme une innovation récente. Pourtant, ses origines s’étendent sur plusieurs siècles. Née de la volonté de trouver des alternatives aux combustibles fossiles, elle présente des avantages environnementaux et économiques qui façonnent aujourd’hui le paysage automobile mondial. Découvrez toute l’histoire de la voiture électrique à travers notre dossier complet.

 

La naissance de la voiture

Pour comprendre les origines de la voiture électrique, il est nécessaire de faire un bond dans le temps, et revenir aux prémices de l’automobile dans le monde. Car, si on pense souvent que la motorisation électrique est très récente, elle est en réalité aussi vieille que les moteurs thermiques, voire plus ancienne encore ! Plusieurs dates marquantes sont à retenir.

  • 1769 : Joseph Cugnot invente le fardier à vapeur, un véhicule fonctionnant à l’aide d’une chaudière à vapeur, et qui atteint les 4 km/h ;
  • 1860 : invention du premier moteur à combustion, pour compenser les lacunes des voitures à vapeur (fonctionnement trop rigide et loi qui les limite à 10 km/h) ;
  • 1873 : Amédée Bollée invente les premières voitures avec une plus grande capacité (12 personnes) et une vitesse allant jusqu’à 40 km/h ;
  • 1884 : les voitures fonctionnent désormais avec du pétrole, qui est utilisé comme combustible. Édouard Delamare-Deboutteville se sert du moteur à combustion à 4 temps pour créer une automobile roulant au pétrole ;
  • 1888 : les voitures sont désormais équipées de pneus, une invention de John Boyd Dunlop ;
  • 1901 : la première pompe à essence est brevetée, excluant enfin les risques d’explosion liés à la conservation peu réglementée du combustible.

 

Évolution et démocratisation de la voiture

Poursuivons notre chronologie pour comprendre à quel moment de l’histoire l’automobile s’est démocratisée, pour devenir le moyen de locomotion principal de la plupart des gens.

  • 1908 : l’industriel Henry Ford parvient à produire une voiture beaucoup plus accessible. L’automobile n’est désormais plus réservée à l’élite, comme un objet de luxe, et de plus en plus de particuliers peuvent s’acheter une voiture ;
  • 1919 : la production de voitures en série arrive en France, grâce au constructeur Citroën, qui s’inspire du Fordisme pour développer la Citroën Type A et répondre aux besoins grandissant des particuliers ;
  • 1922 : jusqu’alors, aucun code de la route précis ne régissait la circulation routière. Le permis de conduire est alors mis en place, avec une signalisation et des règles précises de conduite, afin de prévenir les dangers de la route ;
  • 1945 : la démocratisation de la voiture est lancée, grâce à l’importante croissance économique que connaissent les pays développés. Le pouvoir d’achat permet désormais à tout le monde, ou presque, d’acquérir un véhicule neuf ;
  • 1970 : les chocs pétroliers mettent en difficulté le marché de l’automobile, les constructeurs axent alors leur stratégie marketing sur les « technologies de service » ;
  • 1990 : les automobilistes utilisent massivement la voiture, et pour combler leurs attentes, le premier GPS embarqué voit le jour ;
  • 2010 : avec l’émergence des nouvelles technologies, des smartphones et autres applications, le monde de l’automobile opère un virage vers la digitalisation de la voiture. Les taxis sont désormais en concurrence avec des VTC connectés, et l’autopartage prend de l’ampleur ;
  • 2015 : les consommateurs sont de plus en plus sensibles aux enjeux écologiques des voitures. Les constructeurs automobiles se mettent alors au vert en mettant en vente des voitures hybrides, voire des voitures 100 % électriques ;
  • 2020 : la transition écologique pousse les constructeurs à améliorer les performances de leurs voitures électriques, notamment au niveau de l’autonomie. En parallèle, la démocratisation des véhicules intelligents et des objets connectés guident les fabricants automobiles vers les premières voitures totalement autonomes.

 

L’utilisation de la voiture, un impact négatif sur l’environnement démontré

L’utilisation de la voiture thermique a un impact considérable sur la planète. C’est d’autant plus marquant que la quasi-totalité des conducteurs dispose à ce jour d’un véhicule à moteur thermique, et qu’en 2018, 36 % des foyers français possédaient au moins 2 voitures.

Un impact environnemental dès sa fabrication

La construction d’une voiture thermique nécessite de nombreuses ressources. Du plastique de l’habitacle aux métaux du système de motorisation, au caoutchouc des pneus, ces éléments puisent parfois dans des ressources non-renouvelables et/ou non-recyclables. Par ailleurs, chaque élément doit être extrait, transformé et transporté, ce qui génère une énorme consommation d’énergie, et donc une forte pollution.

Une incidence écologique à chaque utilisation

Pour pouvoir avancer, un véhicule thermique utilise l’énergie produite lors de la combustion du carburant. Mais cette réaction chimique émet également du CO2, un gaz à effet de serre qui joue un rôle majeur dans le phénomène de réchauffement climatique. Cette pollution est loin d’être anodine, car l’usage de la voiture représente encore 16 % des émissions de gaz à effet de serre en France, et 97,7 % des véhicules fonctionnent au diesel ou à l’essence.

Notons, d’ailleurs, que le transport est le seul secteur dont les émissions de CO2 ont augmenté ces dernières années. Cela s’explique par l’essor des ventes de voitures neuves (38 millions de voitures étaient en circulation en France en 2020).

Bon à savoir : les véhicules motorisés ne rejettent pas que du CO2, et d’autres polluants viennent accentuer leur empreinte carbone, comme l’oxyde de plomb, l’oxyde d’azote, le monoxyde de carbone, les particules fines et les composés organiques volatils (COV).

 

Les différentes motorisations envisagées

Pour pallier l’empreinte écologique forte des véhicules thermiques, les constructeurs ont envisagé de multiples alternatives, plus ou moins ambitieuses, et pas toujours réalisables.

Le moteur à l’eau

Depuis le XIXe siècle, des inventeurs tentent d’utiliser l’eau comme source d’énergie pour les moteurs de voiture. En revanche, il est important d’apporter une petite nuance : aucun moteur ne peut fonctionner uniquement avec de l’eau. Elle doit obligatoirement être dissociée en oxygène et en hydrogène, via l’électrolyse, afin que l’hydrogène soit brûlé comme carburant.

Si, en soit, l’idée d’utiliser un moteur à l’eau pour réduire la quantité de carburant polluant est intéressante, il faut quand même noter que ce processus demande bien plus d’énergie qu’il n’en produit.

L’hydrogène

Les véhicules à hydrogène sont déjà nombreux sur les routes françaises et internationales. Utilisé comme carburant, l’hydrogène est issu d’un mélange de gaz naturel et d’eau. Il représente donc l’élément le plus léger, mais aussi l’élément chimique le plus abondant sur la planète. Concrètement, une pile à combustible fonctionne grâce à l’électricité produite lors de la réaction qui a lieu entre l’hydrogène et l’oxygène de l’air. L’eau est alors le seul déchet résultat de ce processus.

Si, sur le papier, la voiture à hydrogène a zéro émission polluante, elle n’est toutefois pas la solution idéale, car son rendement énergétique est très faible et sa fabrication reste polluante (utilisation de ressources fossiles comme le méthane et le charbon).

Le GPL

Le GPL, ou gaz de pétrole liquéfié, est un gaz composé majoritairement de butane et de propane. Depuis les années 1970, il est utilisé comme alternative aux carburants traditionnels. Comme le véhicule hybride, la voiture GPL fonctionne par bicarburation, et fonctionne indifférent au gaz ou à l’essence.

On comprend aisément qu’une telle motorisation permet de réduire grandement les émissions de polluants, par rapport à un véhicule thermique. Mais elle reste une alternative moins intéressante que la voiture électrique, puisqu’elle émet malgré tout beaucoup de polluants.

Les carburants de synthèse

Les carburants de synthèse, ou e-fuels, sont fabriqués de manière artificielle à partir de matières premières comme le gaz naturel, le charbon ou la biomasse. On dit alors que les e-fuels sont neutres en carbone, car ils rejettent un taux de CO2 égal au taux de CO2 retiré de l’atmosphère pour sa fabrication. En revanche, il faut quand même noter que leur production à grande échelle pourrait être extrêmement coûteuse, et que le bilan carbone de la fabrication de tels véhicules est souvent critiqué.

Le moteur électrique

La dernière alternative aux voitures thermiques est le véhicule électrique. À ce jour, le moteur électrique reste la solution la plus écologique, car à l’usage, il n’a aucune émission polluante. Le principe est simple : alimenter le moteur avec l’électricité stockée dans une batterie. Dans les faits, le processus est plus complexe, et il a fallu de nombreuses années pour améliorer l’autonomie des véhicules électriques et réduire le temps de recharge.

La voiture électrique fait quand même débat, notamment au sujet de sa faible émission de CO2 car, si à l’usage, elle a zéro émission, ce n’est pas le cas lors de sa fabrication ou à sa fin de vie. Toujours est-il qu’elle reste la solution la plus écologique face au moteur thermique.

 

La première voiture électrique

Contrairement à ce que l’on pense, les voitures électriques ne datent pas d’hier. Il y a plus d’un siècle déjà que ce type de motorisation est utilisé. Remontant aux origines du véhicule électrique.

  • Les années 1830 : plusieurs ingénieurs expérimentent les premiers prototypes de voiture électrique, dont Robert Anderson, Thomas Davenport, ou encore Sibrandus Stratingh. Nous avons ici les prémices du véhicule électrique, mais cela reste expérimental ;
  • 1884 : l’industriel anglais Thomas Parker fabrique la première voiture électrique que l’on peut utiliser à partir de matériaux non-rechargeables. Pour la petite anecdote, c’est aussi cet inventeur qui a permis l’électrification du tramway de Londres ;
  • Fin du XIXe et début du XXe siècle : il y a 100 ans déjà, les automobilistes reconnaissent les atouts des véhicules électriques, notamment pour circuler en ville. Rappelons qu’à l’époque, la voiture thermique démarre grâce à l’action d’une manivelle. La voiture électrique est donc plus facile à démarrer, et ne rejette pas de fumée nauséabonde. La popularité des moteurs électriques naît de ce constat ;
  • Une baisse de l’intérêt général : avec l’amélioration des moteurs à combustion interne, les moteurs électriques perdent de leur intérêt. Par ailleurs, la découverte d’immenses réserves de pétrole rend l’essence plus accessible, et les préoccupations écologiques ne sont pas du tout d’actualité.

 

Des débuts balbutiants pour la voiture électrique

Les premières ébauches des voitures électriques ont été élaborées dans les années 1830, mais l’abondance du pétrole et l’essor de la combustion interne vont vite leur faire de l’ombre. Loin des inquiétudes environnementales d’aujourd’hui, les automobilistes s’habituent aux fumées et à l’odeur que dégagent les véhicules, et apprécient de pouvoir se déplacer rapidement et à faible coût.

Il faudra attendre le XXIe siècle pour que les préoccupations climatiques transforment le marché de l’automobile. L’urgence climatique est réelle, et chacun prend conscience des dangers des moteurs à combustion interne pour notre planète. Les voitures électriques reviennent alors sur le devant de la scène, et l’évolution des performances technologiques (autonomie, temps de recharge…) permettent de développer la motorisation électrique à grande échelle.

 

Tesla : un acteur incontournable dans la démocratisation de la voiture électrique

Difficile d’évoquer l’histoire du véhicule électrique sans mentionner Tesla. Fondée en 2003 par Elon Musk, Tesla est venue donner un coup de pied dans la fourmilière de l’industrie automobile, en démontrant le potentiel des voitures électriques.

Avec sa voiture de sport 100 % électrique Roadster, Tesla prouve que les moteurs électriques en ont sous le capot. Suivront plusieurs modèles de voitures électriques qui mettront en avant les avancées technologiques et l’innovation, tant au niveau des performances de la batterie qu’au niveau esthétique.

Tesla bouscule également les préjugés sur le temps de charge en développant les Superchargeurs, des bornes de recharge rapide qui défient tous les sceptiques.

 

Les avantages des véhicules électriques

La voiture électrique s’impose progressivement comme une alternative aux véhicules à combustion, et ce pour de multiples raisons.

Tout d’abord, sur le plan écologique, ce type de véhicule émet zéro émission locale, réduisant ainsi la pollution atmosphérique dans les zones urbaines. Cet avantage se traduit par une amélioration de la qualité de l’air, bénéfique pour la planète, mais aussi pour la santé humaine.

Sur le plan économique, l’électrique offre des coûts d’exploitation généralement plus bas, puisque l’électricité est moins chère que l’essence et que la maintenance est plus simple, avec moins de pièces mobiles.

En termes de performances, les modèles électriques offrent une accélération rapide, grâce au couple instantané des moteurs électriques. De plus, le confort de conduite est optimal, grâce au silence et à l’autonomie des voitures électriques toujours plus performante.

Enfin, avec l’évolution des technologies, l’autonomie des batteries s’améliore, rendant les longs trajets plus accessibles.

 

Rouler en électrique, un levier important dans la sauvegarde de l’environnement

Faire le choix de rouler en véhicule électrique, c’est agir activement contre le réchauffement climatique. En effet, le moteur électrique réduit grandement les émissions de polluants, car il n’émet, localement, ni CO2, ni polluants atmosphériques, contrairement au moteur du véhicule thermique.

La transition vers une mobilité verte joue un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique, mais aussi contre la pollution urbaine. C’est d’autant plus vrai qu’en s’appuyant sur des infrastructures énergétiques basées sur les énergies renouvelables, la voiture électrique a un cycle de vie global plus respectueux de l’environnement.

 

Les incitations du gouvernement pour accélérer la transition vers la voiture électrique

Pour son grand projet de transition écologique, la France a mis en place différents dispositifs pour accélérer le processus. Entre aides financières et mesures restrictives, tout est mis en place pour inciter les automobilistes à se tourner vers la mobilité verte.

Le bonus à l’achat

Le bonus à l’achat prend la forme d’une aide financière attribuée à tous les consommateurs qui optent pour un véhicule électrique ou hybride rechargeable. L’objectif est de pousser à l’achat d’un véhicule neuf aux faibles émissions de gaz à effet de serre, et de dissuader les automobilistes de continuer à rouler en véhicule thermique.

Le bonus à l’achat est donc un montant directement déduit du prix d’achat du véhicule fonctionnant à l’électricité. Le montant de l’aide varie en fonction du véhicule. Plus la neutralité carbone est respectée, plus le bonus est élevé.

Bon à savoir : des critères d’émissions sont imposés pour pouvoir profiter du bonus à l’achat.

Les aides aux installations de bornes de recharge pour les particuliers

Pendant longtemps, la disponibilité des stations de recharge a été le gros point faible du marché automobile électrique. Si, aujourd’hui, une borne de recharge permet de recharger une batterie de véhicule électrique bien plus simplement et rapidement, des aides sont également proposées pour installer une infrastructure de recharge à domicile.

Pour les particuliers, il est possible de bénéficier d’un crédit d’impôt, que ce soit pour une résidence principale ou secondaire, qu’on soit locataire ou propriétaire. Disponible jusqu’au 31 décembre 2023, le crédit d’impôt est une subvention allant jusqu’à 75 % du prix de l’installation, dans la limite de 300 €.

Il est également possible de profiter d’une réduction de la TVA à 5,5 % pour les travaux de pose et d’installation de la borne de recharge, mais aussi pour son entretien.

Du côté des copropriétés, plusieurs subventions sont également accessibles pour financer l’installation de bornes de recharge pour véhicules électriques :

  • Le programme ADVENIR : la prime ADVENIR est possible pour toute installation dans un parking en partie commune ;
  • La TVA réduite : sous certaines conditions, les syndics de copropriété, les propriétaires occupants et les sociétés civiles immobilières peuvent profiter d’une TVA à 5,5 % au lieu de 20 % sur le prix du matériel et les frais d’installation.

Les ZFE

Parallèlement aux dispositifs d’aides financières, l’état français met progressivement en place des zones à faibles émissions (ZFE). L’objectif est de restreindre l’accès des villes et zones urbaines aux véhicules les plus polluants. Bien que la France ait tardé à appliquer ce dispositif, le gouvernement souhaite rapidement rattraper son retard et respecter ses engagements européens. Pour cela, un calendrier très serré a été mis en place pour que les grandes métropoles françaises deviennent des ZFE.

L’interdiction de vente des véhicules à moteur thermique en 2035

Pour réussir sa transition écologique et tendre à une neutralité carbone d’ici 2050, la Commission européenne a mis en place un objectif audacieux : interdire les ventes de véhicules à moteur thermique dès 2035. Élément majeur du point climat, soutenu par les 27 états membres, cet objectif vise à réduire considérablement les émissions de CO2 des véhicules, que ce soit sur les petits trajets quotidiens ou pour les longs voyages.

Dès 2035, il ne sera plus possible d’acheter une voiture thermique neuve, et tous les véhicules neufs seront forcément des voitures électriques ou des véhicules hybrides. Bien sûr, les voitures thermiques encore en circulation ne seront pas interdites, mais les constructeurs européens ne pourront plus vendre leurs véhicules thermiques sur le sol européen.

 

Des freins à l’achat d’une voiture électrique encore présents

Si le marché des voitures électriques et hybrides connaît un énorme essor ces dernières années, certains freins à l’achat persistent chez les consommateurs. En interrogeant les automobilistes français, 4 raisons expliquent leur hésitation à se tourner vers les véhicules électrifiés :

  • Le prix à l’achat ;
  • Le manque d’autonomie des batteries ;
  • La controverse écologique, notamment en lien avec la fabrication et le recyclage des batteries des voitures électriques ;
  • Le temps de recharge…

À cela, s’ajoute le manque de recharges publiques et la mise à disposition de bornes à charge rapide.

 

Un avenir radieux pour la voiture électrique

Le marché des véhicules électriques évolue à vitesse grand V et tout porte à croire que la croissance du secteur ne fait que débuter. Entre les améliorations technologiques et les incitations gouvernementales, le parc automobile électrifié vise à s’intensifier, en tout cas en Europe.

Par ailleurs, de nombreux Français s’annoncent prêts à modifier leurs habitudes pour lutter contre le changement climatique. Et si certains remettent en cause l’autonomie des batteries de voitures électriques et le manque de bornes de charge, cet argument n’est plus vraiment valable, pour plusieurs raisons :

  • Certains véhicules électriques affichent une autonomie allant jusqu’à 700 km ;
  • En 2022, 54,2 % des trajets quotidiens étaient inférieurs à 10 km ;
  • Une borne de charge rapide permet de recharger une batterie en moins d’une heure. Les autres se permettent une charge complète en une nuit ;
  • Des milliers de bornes de recharge ont été installées récemment dans le cadre de l’objectif 100 000 bornes.

La voiture électrique est désormais parfaitement accessible et répond à la plupart des exigences des automobilistes. L’avenir est donc plus que prometteur pour le marché de l’automobile électrique.

 Quelques infos sur les perspectives d’évolution – c’est la seule évolution possible

Vous souhaitez agir, à votre tour, contre le réchauffement climatique, en optant pour le véhicule électrique ? Zephyre vous accompagne pour l’installation de votre borne de recharge en entreprise ou en copropriété.